Le texte ci-dessous est la traduction d’une page du site du Saint Monastère de la Trinité-Saint Seraphim à Divéyevo. Cette page est elle-même un condensé du début du premier chapitre du livre rédigé par le Saint Hiéromartyr Seraphim Tchitchagov: «Chroniques du Monastère de Seraphimo-Divéyevo» (Éditions du Désert,février 2016, pour la version française. Летопись Серафимо-Дивеевского монастыря). Le texte russe du site étant légèrement différent de celui des «Chroniques», la traduction ci-dessous diffère elle aussi quelque peu de la version française précitée. Ce texte énonce une réalité qui relève des trésors sacrés de l’Église glorieuse, et rappelle la présence et l’activité incessantes sur terre de la Très Sainte Mère de notre Seigneur et Sauveur Jésus Christ.
La Très Sainte Mère de Dieu a pris sous Sa particulière protection quatre lieux sur notre terre, qui forment Son lot, Son apanage terrestre : l’Ibérie, l’Athos, Kiev et Divéyevo. Dans la lettre du 07 mars 1854 à l’Empereur Nicolas Ier, du «petit serviteur de Seraphim et de la Mère de Dieu», Nicolas Alexandrovitch Motovilov, celui-ci explique que «Sa bénédiction pour chacun de ces quatre lieux consiste en ce qu’Elle promettait d’être personnellement présente en ces quatre endroits pendant trois heures chaque jour, et qu’Elle ne laissera se perdre aucun de ceux qui vivent en ces lieux». Read more
Le Starets Siméon. De Glinsk à Sotchi
Le texte ci-après est la traduction de l’original russe d’Alexandre Vladimirovich Bogatyriov, mis en ligne le cinq janvier 2011 sur le site Pravoslavie.ru. Alexandre Vladimirovich est un réalisateur, scénariste, documentaliste et écrivain russe orthodoxe, collaborateur depuis de nombreuses années de Pravoslavie.ru. Les Éditions du Monastère de la Sainte Rencontre à Moscou ont publié plusieurs de ses ouvrages. Le texte-ci-dessous propose des éléments biographiques illustrant la vie du saint starets Siméon de Sotchi, dont il a été question dans une traduction publiée récemment ici.
Le 25 décembre, fête de Saint Spyridon de Trymithonte, après la liturgie, on célébra dans les églises de Sotchi une pannychide à la mémoire de l’Archimandrite du grand schème Siméon (Nesterenko; 1920-2010). Et à la Cathédrale du Saint Archistratège Mikhaïl et à l’église du Saint Mégalomartyr Georges, les sœurs de la communauté fondée par le Père Siméon organisèrent un repas commémoratif. Un des prêtres invités
– Pourquoi célébrez-vous le quarantième jour par anticipation?
– Il ne s’agit pas du quarantième jour, mais du vingtième, la moitié des quarante. Répondit une des matouchkas.
– Qu’est-ce qui vous a mis cela dans la tête?
– L’amour. Sourit la matouchka. Read more